Text by Heinrich Heine (1797-1856)
Traduit en français par Joseph Massaad
Arrête, arrête, farouche batelier, Au port, dans un instant, je te suis; De deux jeunes femmes, je prends congé, D'elles et de l'Europe aussi. Ô sang, jaillis de mes yeux, Eh! mon corps, pouquoi juste aujourdh'ui Connais-tu encore la vieille chanson Les pommes n’apportèrent que le désastre! |