Text by Heinrich Heine (1797-1856)
Traduit en français par Joseph Massaad
Je ne pars pas
seul, ma belle bien-aimée, Il faut que tu viennes avec moi Jusqu'à la chère cellule, si vielle et maussade De la maison si sombre, si triste et si froide, Où, sur le seuil de la maison, accroupie, Ma mère guette le retour de son fils chéri. " Laisse-moi, homme si triste! Laisse leur parfum aux roses, sa clarté au soleil, |